Friday, January 08. 2010Near Me Now: Google’s Mobile Homepage is Location Aware
The US-only functionality uses GPS on your device to pinpoint your whereabouts and sort nearby results — right on the Google.com mobile homepage — into the following functional categories: Explore right here, restaurants, coffee shops, bars, and ATMs and banks. In fact the “Explore right here option” serves up an instant drop down menu, providing you with results that are literally right in front of you. You’ll immediately get a quick glance at a venue’s Place Page rating and its distance from you. As a result, the simple and smart addition to the mobile Google experience is bound to be both a big time saver and a boon for Place Pages. It’s no mystery that Google is trying to attack mobile location-based services and customer review sites like Foursquare and Yelp head on, and actively promote their Place Pages. This update is a natural progression to help them do just that. We do have to wonder, however, as to why the functionality isn’t a part of the Google Mobile app yet.
Near Me Now Screenshots ----- Via Mashable
Personal comment:
Not a new service at all, but just to underline that Google is entering the "what's around me" business with the mobile version of their search engine. Wednesday, December 30. 2009Livre numérique : la justice française donne raison aux éditeurs face à GoogleLa décision va-t-elle forcer Google à infléchir ses pratiques ? Dans un jugement très attendu, rendu vendredi 18 décembre, le tribunal de grande instance de Paris a interdit au groupe américain de poursuivre la numérisation et la diffusion d'ouvrages sans autorisation des auteurs et éditeurs. Si Google ne s'exécute pas dans le mois, il devra payer 10 000 euros par jour de retard. Estimant que Google avait commis des "actes de contrefaçon de droits d'auteur", le tribunal l'a aussi condamné à verser 300 000 euros, au titre des dommages et intérêts, à La Martinière, troisième groupe d'édition français (propriétaire, notamment, des éditions du Seuil), à l'origine de la plainte. Le Syndicat national de l'édition (SNE) et la Société des gens de lettres de France (SGDL), alliés à l'éditeur français, recevront chacun un euro symbolique. Dans un courriel, Benjamin du Chaffaut, le responsable juridique de Google France, a dit "regretter la décision du tribunal", ajoutant que le groupe "envisage de faire appel". En revanche, les professionnels français du livre se sont félicités du jugement, qui leur donne très largement raison. "C'est une grande victoire pour le droit à la création et la protection des auteurs et des éditeurs", a estimé Hervé de La Martinière, PDG du groupe d'édition du même nom. "Je suis très fier de ce jugement. Cela montre qu'il y a une justice qui respecte nos droits", s'est réjoui Serge Eyrolles, le président du SNE. "Le jugement pourrait faire jurisprudence. D'autres sont prêts à attaquer Google, les Allemands en tête", croit savoir l'éditeur. Un sentiment partagé chez Hachette Livre : "C'est une décision claire, qui rappelle qu'il est interdit, en Europe, de s'approprier les contenus numériques non libres de droits", indique-t-on à la direction du premier groupe français d'édition. "Prêts à discuter" Le contentieux entre Google et les professionnels du livre, français et américains, remonte à 2004, quand la société californienne s'est lancée dans un vaste programme de numérisation de livres, inaugurant sur Internet un service gratuit - Google Books - permettant d'y accéder. Auteurs et éditeurs se sont alors aperçus que certains de leurs ouvrages étaient accessibles en ligne, en intégralité ou par extraits. C'est le cas d'Alain Absire, le président de la SGDL. "Mon premier roman, explique-t-il, a été numérisé sans autorisation par Google, qui a mis en ligne 130 pages sur 160, qui plus est en se fondant sur des épreuves non corrigées." Google s'est défendu, affirmant ne diffuser, en l'absence d'autorisation des ayants droit, que de "courtes citations" des livres. Or "le droit français autorise ces courtes citations, mais uniquement si elles sont insérées dans des oeuvres ou dans des travaux à visée pédagogique (thèse universitaire, article...). Ce qui n'est pas le cas du service Google Books", précise Yann Colin, l'avocat du groupe La Martinière. Malgré cette victoire, auteurs et éditeurs ne veulent pas couper les ponts avec l'américain. "Il faut que Google arrête de numériser derrière notre dos et comprenne que nous sommes prêts à discuter", explique M. Eyrolles. "On peut très bien numériser correctement", ajoute M. Absire. Il cite le projet Gallica, piloté par la Bibliothèque nationale de France : "Gallica s'assure que l'auteur accepte que ses livres soient numérisés. A partir de quoi il s'engage à respecter un certain nombre de normes qualitatives." De son côté, Google a sans doute intérêt à mieux entendre les arguments des éditeurs. L'énorme succès du groupe (21,7 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2008, soit 15,1 milliards d'euros) est lié à la pertinence de son moteur de recherche : plus ce dernier est utilisé, plus Google vend de publicités associées aux requêtes des internautes. Or l'intérêt du moteur dépend pour partie de la richesse des contenus qu'il indexe. Ce en quoi le livre est incontournable. Aux Etats-Unis, Google est d'ailleurs en passe d'accepter un accord de partage de revenus avec les éditeurs et les auteurs. Les éditeurs ont aujourd'hui conscience que le livre n'échappera pas à la révolution numérique. Et que Google en est un acteur incontournable, compte tenu de la position hégémonique de son moteur de recherche. Mais ils veulent éviter le "syndrome Apple" : les maisons de disques, en laissant le fabricant informatique lancer seul sa plate-forme de vente de musique en ligne, ont perdu en partie la main sur la distribution de leur contenu. Cécile Ducourtieux et Thomas Wieder Subvertir GoogleDans une société de la requête, il est intéressant de se demander ce qu’il advient de toutes ces requêtes : quelles normes juridiques s’appliquent aux enregistrements, aux traitements et à l’accès de ces requêtes et si ces normes sauvegardent avec succès les intérêts les plus fondamentaux des utilisateurs des moteurs de recherche”, explique Joris van Hoboken, de l’Institut pour le droit de l’information d’Amsterdam, qui a publié une thèse sur les moteurs de recherche et la liberté d’expression. La vie privée existe-t-elle encore dans un environnement où tout devient cherchable ? Les utilisateurs ne savent pas que la loi leur accorde le droit d’accéder à toutes données personnelles enregistrées sur eux (article 12 de la directive européenne 95/46/CE : “les États membres garantissent à toute personne concernée le droit d’obtenir du responsable du traitement: [...] connaissance de la logique impliquée dans tout traitement automatisé des données le concernant.”) “Pourquoi alors sommes-nous si passifs à faire respecter nos droits ?”, s’indigne Hoboken. En rappelant l’affaire des logs d’AOL qui avaient permis d’identifier plusieurs centaines d’utilisateurs (comme cette dame voir “A qui appartiennent mes logs”), Hoboken rappelle que les données ne sont jamais complètement anonymes. Et de dénoncer l’opacité des moteurs de recherche – et de nos Etats – qui préconisent le stockage des données à des fins répressives. Le sort de la confidentialité réside dans le défi à tirer avantage des nombreuses lois sur la protection des données et dans notre capacité à les comprendre et à faire exercer nos droits. CONSTRUIRE DES ALTERNATIVES Michael Stevenson, étudiant au Département d’études des médias de l’université d’Amsterdam, a présenté une sélection de projets artistiques et activistes liés à la recherche sur le web. Ainsi, IP-Browser cherche à créer une expérience de navigation alternative permettant de surfer sur des adresses IP proches de la votre. Shmoogle permet d’accéder aux résultats de Google de manière chaotique, bouleversant le saint ordre du PageRank. L’internet qui dit non, vous rappelle concrètement que vous ne devez pas utiliser Google en essayant de rendre votre navigation depuis Google insupportable. Le générateur de faute d’orthographe d’Erik Borra et Linda Hilfling est né en se rendant compte qu’introduire une faute d’orthographe sur le terme Tiananmen permettait d’obtenir des résultats contournant la censure sur ce terme dans l’index chinois de Google, permettant alors d’accéder à des images de la manifestation par exemple. Une manière de subvertir le correcteur orthographique et l’index de Google. La ZAP Machine (vidéo) du collectif APFAB est une installation qui cherche les images qui, pour l’autorité que représente Google, correspondent aux mots que nous cherchons afin de les réintroduire dans d’autres contextes, afin de créer une tensions sur le sens des résultats que nous livre le moteur. Le “Maladie Disco” de Constant Dullaart consiste à utiliser la recherche d’images de Google par option de couleur pour interroger des termes de maladies en les mixant avec de la musique disco, permettant de faire contraster le fond et la forme de nos requêtes. The Anxiety Global Monitor utilise des cadres pour afficher des recherches d’images dans différentes langues, permettant de voir à quoi ressemblent des termes comme la peur en arabe, hébreu, anglais ou néerlandais… Cookie Monster d’Andrea Fiore a recueilli les cookies d’utilisateurs pour donner à voir leurs habitudes et leurs goûts. I love Alaska de Lernert Engelberts et Sander Plug a utilisé les données de requêtes libérées par AOL pour en faire une véritable histoire sous forme de petits films. Pour le collectif Ippolita, auteur d’un livre sur La face cachée de Google, il faut arrêter de s’interroger pour construire et expérimenter des réponses… Celles-ci commencent par une attitude propice à l’éducation aux médias. Ainsi que dans une opposition au modèle industriel de la productivité : il faut construire une réponse sur un modèle convivial qui implique le maintien de l’autonomie, la créativité et la liberté. Pour répondre aux interrogations sur les risques que fait peser Google sur nos vies privées, le collectif Ippolita a d’ailleurs conçu SCookies, qui permet de partager ses cookies avec d’autres pour leurrer les moteurs et les sites web. LIBÉREZ LES SILOS DE DONNÉES ! Ingmar Weber, chercheur à Yahoo!, a présenté un point de vue assez iconoclaste et très personnel, consistant à demander la libération des logs de recherche. Le journal des actions de recherche des individus est une source puissante de données : qui permet de connaître l’évolution de la grippe ou le bar préféré des gens. Le problème si vous souhaitez construire un moteur de recherche, c’est que vous ne pouvez pas avoir accès à des journaux de recherches : les principaux moteurs de recherche accumulent leurs logs comme les avares assis sur des monceaux d’or, explique le chercheur. Il existe d’autres monticules d’ors ou silos d’informations fermés comme les appelle Weber : telles les données de connexion des téléphones mobiles ou de nos cartes de crédit qui pourtant pourraient permettre par exemple de prévoir les embouteillages ou de faire une cartographie de nos consommations… Saurons-nous déverrouiller ces silos et en chasser les avares tout en respectant les questions évidentes de confidentialité et les éventuels abus ? Comment pourrions-nous tous contribuer aux journaux de recherche tout en nous protégeant des intrusions et des mauvais usages de nos données personnelles ? SCookies d’Ippolita apporte une solution de partage de données sans facteur terrifiant. Mais quelles autres innovations légales ou techniques pourraient nous permettre d’ouvrir les journaux de requêtes comme des biens publics ? COMPRENDRE LA TRANSMUTATION DU LANGAGE EN UN MARCHÉ GLOBAL L’artiste français Christophe Bruno travaille depuis longtemps à des projets artistiques qui interrogent notre manière d’utiliser les moteurs de recherche. Comme Epiphanies en 2001, inspirées des épiphanies de James Joyce qui se promenait à Dublin en notant des fragments de phrases entendues à la volée, l’installation de Christophe Bruno vole et assemble des textes au hasard des requêtes que les gens lancent sur Google. Fascinum, qui date également de 2001, était un programme qui allait chercher dans les différents sites régionaux d’actualités de Yahoo! les images les plus regardées dans chaque pays, c’est-à-dire ce qui nous fascine le plus tout autour du monde. Avec Adwords Happening, Bruno s’attaque au capitalisme sémantique : il achète des mots via Google AdWord et les présente avec leur prix afin de nous faire prendre conscience que désormais chaque mot a un prix et peut être acheté. En 2004, avec Human Browser, Bruno a fait le constat que les entreprises ont commencé à détourner les méthodes de Guerilla Marketing qu’utilisaient certains artistes conceptuels. Dans cette installation, des humains récitent des résultats de recherches faits par d’autres utilisateurs en temps réel. L’être humain incarne alors le World Wide Web. Logo hallucination est un projet qui scanne les images du web à la recherche de logos et, quand il en trouve, adresse à ceux qui ont posté la photo un e-mail pour se plaindre d’une violation de copyright. Son plus récent projet, le DadaMètre, s’inspire des travaux de Raymond Roussel, le précurseur du mouvement Dada, pour surveiller l’évolution du langage et des mouvements artistiques. MANGER GOOGLE ! Alessandro Ludovico, chercheur et artiste, éditeur du magazine Neural.it, célèbre pour ses projets Amazon Noir et Google will eat itself (Google va se manger lui-même, GWEI), est venu discuter de la vision très critique qu’il porte sur la firme de Mountain View. Google établit des monopoles par son omniprésence, sa “coolitude” et par les fonctionnalités attirantes qu’il développe. La firme a un taux d’innovation accéléré grâce à des règles flexibles. En interne, la devise de leur organisation est la liberté et elle s’avère plutôt efficace. Extérieurement, les produits conçus sont clairs et convaincants. Leurs services sont amusants et attrayants, constate l’artiste. GWEI est un hack qui consiste à concevoir de faux sites web qui souscrivent au programme Google AdSense, programme par lequel Google rémunère des publicités contextuelles aux clics. Ces revenus servent à acheter des actions Google. “Google nous donne de l’argent pour s’acheter lui-même”, c’est tout le principe de ce Google qui se mange lui-même. “Après un certain temps de fonctionnement, Google a compris que nous cherchions à détourner son programme et nous a fermé nos annonces…” Ce qui n’a visiblement pas empêché le collectif de continuer l’expérience en ouvrant d’autres comptes… “Notre logiciel génère des clics frauduleux à chaque fois qu’un utilisateur accède à nos sites et envoie à Google des données, comme si l’utilisateur avait cliqué sur l’annonce. Notre logiciel simule le comportement d’utilisateurs.” C’est une expérience scientifique (et artistique) autour d’une faille de Google : qu’est-ce qui distingue un clic frauduleux d’un clic qui ne le serait pas ? Comme s’en amuse leur auteur, il faudra 23 millions d’années au logiciel pour arriver à racheter les actions de Google. Ce qui fait que le projet ressemble bien plus à un pied de nez qu’à une fraude. Les interfaces de Google – si propres, arrondies, simples, standards et si reconnaissables -, comme leur logo lisse, rond, brillant et familier, sont impénétrables. Alessandro Ludovico les qualifie d’interfaces en porcelaine. “Google sait très bien divertir les utilisateurs : en libérant régulièrement de nouveaux services, toujours plus efficaces. Via cette interface en porcelaine Google se présente comme un bien public. Les services et les interfaces nous hypnotisent, pour servir de la publicité qui reste le coeur de métier de Google. (…) Mais Google n’est pas un système naturel, il est un système économique.” La mission de Google est d’obtenir des informations pour les rendre universellement accessibles. Une mission comparable avec celle de la bibliothèque du Congrès, si ce n’est que cette dernière est un service public, ce que Google ne sera jamais. Il reste un service public privatisé : et la question est de savoir si c’est ce que nous voulons, si c’est ce à quoi nous voulons que nos services publics ressemblent… “Le plus grand ennemi d’un géant est le parasite”, conclut Alessandro Ludovico. “Nous devons commencer à décoder et éliminer ces mécanismes (…). Nous devons créer des anticorps aux interfaces de Google.” Hubert Guillaud Tuesday, December 08. 2009Put on Your Google Goggles and Visually Search the World
How does it work? Just open the app, snap a photo and voilà: Google will process the image and return search results. The photo search functionality eliminates the need to type or say anything on your mobile device, and it adds context to your real-world surroundings. While the technology is pretty remarkable, Google admits that it is still in its infancy. So while some image searches work brilliantly — think photos of books, business cards, artwork, places, logos and landmarks — don’t be too disappointed if your image searches for food, animals, plants and cars are less than stellar. Still, the application should prove useful, and we hope to see versions of it made available for other smartphone users as well. For now, though, iPhone users can turn to a number of different augmented reality applications for camera-enabled search functionality. Watch the video below for a demonstration of Google Goggles. ----- Via Mashable Related Links:Personal comment: More about Google today: yet another example of Google starting to mix real and virtual worlds and mediatization to space a bit further. What they call Google Goggles.
Posted by Patrick Keller
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10:35
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Why Google’s Slapping Decals on Small Businesses
In an effort to beef up attention for their Place Pages project within Google Maps, which is in direct competition with Yelp, Google has started an online and offline program. The new initiative is centered around putting decals with QR codes in store windows, designed to draw your attention to the Favorite Places in your neighborhood.
Google is sending window decals to more than 100,000 U.S. businesses that they’ve identified as the most sought-after on Google and Google Maps. Much like the Yelp stickers you’re accustomed to seeing in businesses around town, these decals will appear in store windows and highlight the business’ status as a Google Favorite Place. The decals also include prominent QR codes that you can scan with your mobile device to pull up the locale’s place page and get reviews — and possibly even coupons — for a particular establishment. At some future date, you’ll also be add a review from your phone (you can already draft a review using Yelp’s mobile app). The problem with QR codes is that they require your mobile device to have an app that can scan the codes. iPhone owners and Android users are covered, (Google has made the iPhone app QuickMark free for a limited time), but QR codes are still a fuzzy concept for most consumers. Plus, the decal maneuver is clearly part of a catch-up scheme to usurp Yelp’s stronghold over consumer reviews. Whether or not it will be effective remains to be seen. Watch the video below to see the decals in action: ----- Via Mashable Personal comment:
QR codes are nothing really new. Just interesting to see Google starting to map it's results in the "real world" and provide businesses with stickers to connect mobiles users to their search engine while in the streets (and of course, everybody is happy! it's a publicity in the end right?).
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