Wednesday, January 28. 2009Vegetable Factories Integrate Solar Cells, LEDsOur goal is to provide vegetable factories enabling cultivation in all conditions, whether in a desert, frigid clime or the middle of the city," said Tokitaro Hoshijima, project director, Project PV at Mitsubishi Chemical Corp of Japan. The company plans to launch its vegetable factory business, including a combination of solar cells and light-emitting diodes (LED), at around the end of 2009. The firm's vegetable factory will shut out the outside world and totally control the interior environment, including temperature, humidity, CO2 concentration, nutrients and illumination. Running costs will be minimized through a combination of solar cells and LEDs. Mitsubishi Chemical has entered the vegetable cultivation field through a tie-up with Fairy Angel Inc of Japan, already experienced in commercial vegetable factories, to cooperatively develop a new type of vegetable factory integrating solar cells and LEDs. An experimental plant will be constructed in part of Fairy Angel's newest plant, scheduled to come online in August 2008, and used from this fall to optimize vegetable growth parameters for the solar cell/LED design. Zero Electricity CostsVegetable factories are hot these days: consumer interest in food safety is surging, and vegetables cultivated in cleanroom factories are becoming increasingly popular. For producers, foodstuff-related firms and other parties in the field, vegetable factories mean planned production, unaffected by changes in the season, weather, or other factors. These vegetable factories face a major problem, though, in the high cost of electricity for lighting, air conditioning and other uses, which accounts for about 30% of total running cost. Mitsubishi Chemical hopes to cut electricity cost for vegetable plants to zero. According to a source at Mitsubishi Chemical, switching from florescent lights to LEDs will cut power consumption far enough to make it possible to use solar cells to supply the load. Engineers use red and blue LEDs, which cover the absorption peaks of chlorophyll, to achieve more efficient illumination than that available from red-deficient florescent tubes. The intermittent illumination that LEDs excel at is ample for photosynthesis, and the end result is a major reduction in power consumption. Engineers believe that illumination on a 200us cycle is sufficient for cultivation. Using solar cells also means a higher initial cost, though. Mitsubishi Chemical hopes to resolve this problem by using organic solar cells, costing a fraction of what Si-based solar cells cost. The firm plans to resolve fundamental obstacles to volume production by 2015, stating that organic solar cells would cut cumulative costs (power source and lighting-related expense) to the same level as florescent lamps running off the commercial grid in about seven years, and end up about 30% lower in a decade (Fig 1). Si-based solar cells will be used to construct a factory with zero CO2 emissions in operation, and once organic solar cells enter volume production they will be used to construct a vegetable factory. by Satoshi Okubo Related Links:Personal comment:
L'agriculture technologique: en rapport à l'"urban farming" et en pensant au moment où nous mangerons des salades Mitsubishi cultivées dans la pièce d'à côté...
Posted by Patrick Keller
in Science & technology, Sustainability
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10:41
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Mobile phones as pervasive traffic sensors(via Wired’s Gadget Lab) Nokia is experimenting with using GPS-enabled mobile phones to collect traffic information collaboratively, in an effort to reduce traffic congestion:
----- Via Smart Mobs Related Links:Personal comment:
Ou quand les millions des téléphones portables se transformeront en autant de senseurs pour capter l'environnement, mais aussi les mouvements des personnes, etc. Cardiopulmonary Spatialization[Image: From "Change of Heart: Rethinking the Prescriptive Medical Environment" by Marina Nicollier].
To perform a test-run for these propositions, Nicollier has designed a "cardiology research facility adjacent to two major medical institutions in Mexico City."
Indeed:
Then, however, in the 1950s it was discovered that tuberculosis was only treatable through the use of antibiotics, and so architectural modernism – with its wide verandahs and flat roofs – lost its medical justification, so to speak. It became just another style to be mined for a new pastiche of superficial quirks and regional variations.
To wit, Thomas Mann's Magic Mountain. ----- Via BLDBLOG Related Links:Personal comment: Je ne serais pas étonné d'apprendre que Marina Nicollier soit passée par un atelier de Philippe Rahm à l'EPFL, à Mendrisio ou à la AA, car le projet ressemble beaucoup à ce que j'ai pu voir en critique dans son atelier. Reste que le projet est intéressant et renvoie dans le fond à des architectures de type sanatorium! Tuesday, January 27. 2009Les centres de données, de plus en plus gourmands en énergie
La chasse au "gaspi" dans les centres de données est ouverte. Ces immenses salles, appelées aussi "data centers", composées de multiples serveurs informatiques qui stockent les informations nécessaires aux activités des entreprises, sont devenues de véritables gouffres énergétiques. Selon une étude menée par des chercheurs européens dans le cadre du programme de l'Union européenne "Energie intelligente - Europe", les 7 millions de centres de données recensés dans les pays de l'Union européenne consommeraient, chaque année, 40 milliards de kilowattheures, soit l'équivalent de l'énergie utilisée annuellement par une grande agglomération française pour son éclairage public. Si rien n'est fait, cette consommation électrique pourrait, d'ici à 2011, augmenter de 110 % par rapport à 2006, estime l'enquête qui sera complétée au printemps par des études de cas en entreprises. "Dans les prochaines années, la croissance des nouveaux data centers sera faramineuse. Si on ne prend pas des mesures maintenant, on va dans le mur !" s'alarme Alain Anglade, chercheur au sein de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) et membre de l'équipe de chercheurs. Encore modeste à l'échelle de l'Hexagone, l'énergie utilisée par les centres de données (4 à 6 milliards de kilowattheures) représente 1 % de la consommation d'électricité du pays. Un pourcentage appelé à croître rapidement en raison de la diffusion rapide des nouvelles technologies informatiques. Les banques, par exemple, soumises à des réglementations croissantes en termes de stockage et traitements de leurs données informatiques, sont déjà contraintes d'agrandir leurs centres de données. Le gouvernement français a saisi l'occasion du plan France numérique 2012, lancé en octobre 2008, par le secrétariat d'Etat au développement de l'économie numérique pour créer un observatoire des centres de données. A horizon de dix-huit mois environ, il permettra aux entreprises de se comparer entre elles et de les aider à prendre des mesures pour qu'elles diminuent la consommation énergétique de leurs machines, explique en substance Alain Anglade, un des responsables du projet pour qui "les entreprises sont déjà sensibilisées car ce gaspillage commence à leur coûter beaucoup d'argent". Cette mise en commun devrait également permettre aux entreprises d'anticiper sur la création de nouvelles normes environnementales plus contraignantes au niveau européen. Parallèlement, le ministère de l'économie et des finances vient de lancer un groupe de réflexion. Baptisé "Green ITW" et dirigé par Michel Petit, membre de l'Académie des sciences, il doit proposer, d'ici à mai, des solutions pour une "utilisation éco-responsable" des centres de données. En clair, comment faire des économies d'énergie sans pénaliser les entreprises dans l'utilisation de leurs outils informatiques. Selon l'étude européenne déjà citée, près de 12 milliards d'euros pourraient être économisés grâce à de nouveaux équipements moins gourmands en électricité et des techniques plus efficaces de ventilation des salles. L'Allemagne a, de son côté, déjà entrepris de lutter contre le gaspillage énergétique des "data centers". Depuis l'été dernier, un guide est à disposition des entreprises pour leur faire prendre conscience du problème et les pousser à investir dans des équipements plus efficaces. Bien décidé à montrer l'exemple, le ministère fédéral de l'environnement a annoncé en novembre 2008 avoir baissé la consommation d'électricité de ses propres serveurs de 60 %, soit une économie de CO2 de 44 tonnes. Particulièrement concernés, les géants de l'informatique cherchent eux aussi déjà à réduire la facture énergétique de leurs data centers devenus gigantesques pour stocker e-mails, vidéos et autres documents disponibles en un seul clic. Récemment, Google, Yahoo ! ou encore Microsoft ont installé certains de leurs sites informatiques sur les bords de grands cours d'eau américains. Ils souhaitent pouvoir refroidir plus facilement leurs machines et utiliser les centrales hydrauliques proches pouvant leur fournir de l'électricité moins chère. Jouant la carte du développement durable, Google affirme avoir investi 45 millions de dollars dans les énergies renouvelables. Le mastodonte américain a même déposé un brevet pour pouvoir installer des centres informatiques alimentés par l'énergie des vagues et refroidis par l'eau de mer sur des plates-formes flottantes.
Lilian Alemagna
En Grande-Bretagne, facture chargée pour super-ordinateur 14 400 tonnes par an. C'est la quantité de CO2 produite par le futur super-ordinateur de l'office météorologique britannique (Met Office) censé aider à lutter contre le réchauffement climatique. Achetée 33 millions de livres (36,3 millions d'euros), cette machine produira autant de CO2 que 2 400 personnes en une année. "Nos super-ordinateurs actuels produisent déjà 10 000 tonnes de CO2 chaque année, mais cela n'est qu'une partie des émissions de carbone économisées grâce à notre travail", s'est défendu Alan Dickinson, un des responsables du Met Office, au quotidien britannique The Times. Le nouvel équipement doit permettre d'améliorer les prévisions météorologiques. Les données permettront ensuite de mieux connaître l'impact des gaz à effet de serre sur l'environnement. ----- Via Le Monde Related Links:Personal comment:
Le débat soulevé ici par le super-ordinateur de l'office météorologique britannique (Met Office) et destiné à lutter contre le réchauffement climatique est intéressant: il produit une quantité non négligeable de CO2, mais combien permet-il d'en économiser?
Posted by Patrick Keller
in Science & technology, Sustainability
at
17:48
Defined tags for this entry: climate, data, energy, function, globalization, science & technology, sustainability
Climate Proofing the Netherlands (and Saving Architecture)In the last years it seems to be an agreed upon fact that sea levels are certainly on the rise due to global climate change. Over the past 100 years, the seas have been climbing approximately 1.8mm per annum. Scientists have more recently been recording a rise of approximately 3.1mm per year (over the past 15 years) indicating that this rate is increasing. This is not only due to the melting of the polar ice caps (and all their precious fresh water), but more predominantly by the thermal expansion of the sea (heating water lowers the density of its molecules, thereby increasing its surface area). In the next century, sea levels are predicted to rise between 90 and 880mm. It is estimated that there are currently three billion coastal dwellers, which is expected to rise to six billion by 2025. As sea levels continue to increase, coastal and low-lying cities (or nations), such as the Netherlands, find themselves in a precarious position. A group of engineers and ocean experts on the Intergovernmental Panel on Climate Change predicts a forty-centimeter rise in the North Sea by 2025; between sixty-five centimeters and 1.3 meters by 2100; and up to 4 meters by 2200. These estimates have instigated the proactive Dutch to design pre-emptive measures of climatic defense. The Netherlands is one of the few countries that have mastered building on the water. Largely built on reclaimed land, the Netherlands sits in a perilous location - a delta, created where the Rhine and Meuse Rivers flow into the North Sea. In 1953, a massive flood caused severe damage - killing nearly two thousand people and flooding over 150,000 hectares of land. In the aftermath of this devastation - just twenty days later - the Delta commission was born. The Delta commission was conceived to increase the safety of the Delta area of Holland without shutting down the seaways De Niuwe Waterweg and the Western Schelde (which connect to the prosperous ports of Rotterdam and Antwerp). Creating arguably the best defensive system of natural barriers, levees, dams, storm surge barricades, dunes, etc., the Delta Commission was successful at ‘climate proofing’ (their term for resisting flooding) the Netherlands for 1:10,000 year floods (for comparison, New Orleans is striving for 1:100 year levels by 2011). Although the risk seems low, the land below sea level in the Netherlands accounts for sixty-five percent of its GDP (approximately $450 billion per year), not to mention a population of 11 Million residents. As economics plays a large factor in ‘risk’ assessment, the following equation is often used to determine the viability of a ‘climate proofing’ project: Risk = (probability of failure) x (projected cost of damage)
[The Maeslantkering Storm Surge Barriers, 1997. Final project of the Delta Works. Photo: Ralph Hargarten]
----- Via InfraNet Lab
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